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dimanche 18 février 2007

Trouver la foi

Certains vont dire : "Oui, mais moi mon problème, c'est que j'aimerais croire, or je ne crois pas. Alors, c'est bien gentil ce que vous me dites, mais il n'y a rien qui me convainc et donc je ne crois pas, et pourtant croyez-moi j'ai envie de croire. Qui n'aurait pas envie de croire à une telle Nouvelle ?" A ceux-là je dirais que, justement, il s'agit de faire un acte de foi, et donc qu'il n'y a pas de preuves. Comme je vous l'ai déjà dit, avec des preuves, on ne croit plus à un phénomène, on sait qu’il existe. S'il n'y a pas de preuves, c'est justement pour que nous croyions. Pourquoi faut-il que nous croyions et non pas que nous sachions ? Peut-être parce que, si on croit en quelqu'un, c'est qu'on lui fait confiance, alors que, s'il nous a amené des preuves pour nous convaincre, c'est qu'on se méfiait de lui. Or comment voulez-vous être sauvé, si vous vous méfiez du Sauveur. En se méfiant de Lui, ne risquez-vous pas de le rejeter ? Dans l'absence de preuve, je vois une aide supplémentaire pour accepter de se laisser sauver en apprenant à faire confiance. C'est pour cela qu'à Saint Thomas, celui qui ne croit que ce qu’il voit, Jésus s'est montré après sa mort, lui a montré la marque de ses clous et a dit: "Parce que tu me vois, tu crois. Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru." (Jean 20, 29)

Ainsi, croire n'est pas un phénomène raisonnable. On peut donc difficilement le commander. Soit on croit, soit on ne croit pas, et il semble bien difficile de pouvoir y faire quelque chose. On peut même avoir l'impression que seuls ceux qui ont, ou qui auront, la « chance » d'y croire seront finalement sauvés. Effectivement, de par son côté non maîtrisable, la foi est une grâce, c'est-à-dire un cadeau de Dieu. Ceux qui ont la foi et qui sont conscients du trésor fabuleux qui leur est fait - puisqu'il leur permet d’être sauvés - remercient sans cesse Dieu pour ce cadeau. A mon avis, la foi en la Bonne Nouvelle de Jésus est le bien le plus précieux qui existe dans notre monde.

Cela pourrait sembler cruel : il y a ceux qui ont ce bien et qui seront sauvés et il y a les autres, qui sont quasiment sûrs d'être rejetés au moment du Jugement Dernier. Et ce bien, un Homme ne peut pas le donner à un autre. En effet, je peux bien marteler, aussi fort que je veux, ce en quoi je crois, mon voisin entendra, mais ce n'est pas pour cela qu'il croira. Pourquoi est-ce donc si dur ? Peut-être pour qu'en réalisant qu'aucun Homme ne peut lui donner cette foi, ce trésor inestimable, l'Homme prenne conscience qu'il ne maîtrise pas tout. Peut-être aussi, pour que chaque Homme trouve lui-même la Personne qui peut lui donner ce qu'un Homme ne peut lui donner. Et pour que, de cette rencontre, naisse une relation qui bien plus que le sauver, lui montrera dès maintenant ce qui peut combler son besoin d'infini.

Si vous lisez ce texte alors que vous n'êtes pas en recherche ou que vous décidez d'écarter cette voie arbitrairement, je ne peux rien vous conseiller. Il est de votre entière liberté de le rejeter. Mais si vous acceptez de le prendre pour une piste dans votre recherche sur la vie, je peux vous conseiller de vous mettre en route de la même façon que les rois mages. Il ne faut pas croire que les rois mages savaient à l'avance qu'ils iraient se prosterner devant un nouveau-né dans une crèche. Leur qualité est qu'ils étaient ouverts à tout pour avancer dans leur quête. Un jour, ils se sont mis en marche pour se prosterner devant le roi des juifs, car ils ont acceptés de se laisser guider par le signe indiquant qu'il était temps de se prosterner devant lui. Or en ces temps-là, il n'y avait plus de roi des juifs puisque la Palestine était occupée par les Romains et que la personne placée à la tête des juifs – Hérode - était à cette place parce que les Romains le voulaient bien. Malgré la contradiction, ils ont acceptés de suivre le signe. Celui-ci ne les a pas arrêtés à Jérusalem, au palais d'Hérode, mais les a emmenés plus loin, dans un petit village et celui qu'ils ont reconnu comme le roi des juifs était un nouveau-né. Est-ce qu'en partant, ils s'attendaient à cela ? Quel roi, un nouveau-né dans une province reculée au lieu du commandant dans un palais de Jérusalem ! Ils ont juste agi sans préjugés. Là aussi, j'ai une bonne nouvelle pour vous, il est possible, encore aujourd'hui, de faire comme le rois mages.

19 commentaires:

Gigi a dit…

Je suis protestante, mais je ne m'arrêterai pas à ce que certains appellent : " ce qui nous divise" et qui ne sont pour moi que des détails secondaires.
Je t!apporte ce qui nous est commun ; une conviction ardente et ferme en ce que nous croyons et qui est la même; la foi en l'oeuvre de Dieu et du sacrifice de son fils por nous sauver.
Continue, mon frère!

Anonyme a dit…

Je tinvite à mater ce BloG (il vaut le détour) :

http://jesusmyway.skyrock.com/

BloG d'espoir, de foI, de force, de courage ...

PS : laisse des coms sur mon BloG pour m'encourager à poursuivre si cela ta plu.!
Merci!.

MoR LuV .!

Unknown a dit…

J'ai trouver ton texte inspirant,je suis presentement a la recherche du chemin qui me guidera vers ma foi,un chemin d'ou je me suis ecarter depuis bien longtemps,merci.

Ludovic a dit…

Bonjour Lily,

Que veux-tu dire par "vers ma foi" ? Ta foi n'est-elle pas toujours ta foi ? Ta foi peux évoluer au cours de ta vie, mais ta foi n'est-t-elle pas toujours ta foi ?

Par exemple, je n'ai plus les mêmes opinions sur certaines choses qu'il y a quinze ans, mais mes opinions sont toujours mes opinions, mes nouvelles comme mes anciennes.

Je suis très intéressé par ta réponse. J'espère que tu répondras.

Unknown a dit…

Ce que j'ai voulu dire c'est que je suis en procesus de reconversion.Voici mon histoire : J'ai envie de retrouver ma foi en dieu mes comment faire ? Pour vous mettre en contexte,quand javais entre 4 et 12-13 ans mes parents m'oubligeaient à aller à l'eglise tous les dimanches.Cela ne ma pas deranger jusque vers la fin...mes les derniere anners j'ai trouver sa plus déplaisant si ont veux qu'ont me force la main.J'ai été enfant de coeur plusieurs années et durant un certain temps nous avions des groupes de prieres en famille.Celle-ci est catholique,certain sont pratiquant d'autre non.Depuis un certain temps je me demande si je devrais renouer avec ma foi,mes j'ai de la difficulter.Premierement parceque je l'ai totalement perdu depuis bientot 10 ans mes aussi parceque le jugement des autres me dérange.Comment fait-on pour pratiquer sa religion sans honte,se n'est pas facile dans la generation ou nous sommes.Je crois en toute ses belle valeurs que la religion nous apporte mes je ne ses pas si je devrais me remettre aller à l'église,a prier,ou a lire la bible...par ou commencer pour croire de nouveau.

Il y a eu un peux de developpement depuis,tu peux en lire plus sur : http://reflexionsdelily.blogspot.com/

Ludovic a dit…

Bonjour Lily,

Tu dis "Je crois en toute ces belles valeurs que la religion nous apporte".

Ce peut être un bon début. Parmi "toutes ces belles valeurs" quelle est celle que tu préfères ?

En attente de ta réponse.

Unknown a dit…

Il y en a plusieurs mes la premiere qui me vien a l'esprit c'est le pardon.Pas toujours facile a appliquer mes tellement necessaire pour mieux avancer.

Unknown a dit…

Il ne faut pas confondre la foi, la religion et l'église. La foi est intime, personnelle, sacrée. La religion est une espèce de forme que l'homme donne à ce qui est spirituel. Quant à l'église, ce n'est qu'une pauvre institution, un organisme, une structure bureaucratique, purement humaine avec plus de défaut que de qualité. On peut avoir la foi sans être religieux et surtout sans se soumettre aux dogmes de l'église. D'ailleurs, si Dieu existe il jugera bien ceux qui ont la foi, mais il est difficile à croire qu'il appréciera ceux qui se soumettent passivement à la religion et moins encore ceux qui moutonnent dans l'église.

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean,

Je ne crois pas que l'Eglise ne soit qu'une pauvre institution. Je n'y crois pas car je crois à tout ce qui est écrit dans la Bible sans
exception.

Je vais te soumettre quelques extraits de la Bible. J'aimerais savoir si tu les rejettes ou pas et si tu ne les rejettes pas comment tu les interprètes ?

Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné, insoucieux de me sauver, malgré les mots que je rugis ? Mon Dieu, le jour j'appelle et tu ne

réponds pas, la nuit, point de silence pour moi. Et moi, ver et non pas homme, risé des gens, mépris du peuple, tous ceux qui me voient me

bafouent, leur bouche ricane, ils hochent la tête : "Qu'il s'en remette à [IHVH] Adonaï, qu'il le délivre ! qu'il le libère, puisqu'il l'aime !"

Je peux compter tous mes os, les gens me voient, ils me regardent ; ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement. Mais toi,

[IHVH] Adonaï, ne sois pas loin, ô ma force, vite à mon aide. J'annoncerai ton nom à mes frères, en pleine assemblée je te louerai : "Vous qui

craignez [IHVH] Adonaï, louez-le, toute la race de Jacob, glorifiez-le, redoutez-le, toute la race d'Israël" De toi vient ma louange dans la

grande assemblée, j'accomplirai mes voeux devant ceux qui le craignent. Les pauvres mangeront et seront rassasiés. Ils loueront [IHVH] Adonaï,

ceux qui le cherchent : "Que vive votre voeur à jamais !" Tous les lointains de la terre se souviendront et reviendront vers [IHVH] Adonaï ;

toutes les familles des nations se prosterneront devant lui. A [IHVH] la royauté, au maître des nations ! Oui, devant lui seul se presterneront

tous les puissants de la terre, devant lui se courberont tous ceux qui descendent à la poussière : et pour celui qui ne vit plus, sa lignée le

servira ; on annoncera le Seigneur aux âges à venir, on racontera au peuple à naître sa justice : Voilà son oeuvre !
(Psaume 22(21), 2-3, 7-9, 18-20, 23-24, 26-32)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean second extrait :

Et Jean rendit témoignage en disant : "J'ai vu l'Esprit descendre, tel une colombe venant du ciel, et demeurer sur Jésus. ET moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau, celui-là m'avait dit : "Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et demeurer, c'est lui qui baptise dans l'Esprit Saint." Et moi, j'ai vu et je témoigne que celui-ci est l'Elu de Dieu." (Jean 1, 31-34)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean :

"Mais pour vous, dit Jésus à ses disciples, qui suis-je ?" Simon-Pierre répondit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant." En réponse, Jésus lui dit : "Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux. Eh bien ! moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les Portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle.(Matthieu 16, 15-18)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean :

Jésus disait à la foule : "Moi, je suis le pain de vie. Vos pères, dans le désert, ont mangé la manne et sont morts ; ce pain est celui qui descend du ciel pour qu'on le mange et ne meure pas. Moi, je suis le pain vivant, descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra pour toujours. Et le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde." (Jean 6, 48-51)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean :

Le soir venu, Jésus arrive avec les Douze. Et tandis qu'ils mangeaient, il prit du pain, le bénit, le rompit et le leur donna en disant : "Prenez, ceci est mon corps." Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : "Ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude.(Marc 14, 22-24) Faites cela en mémoire de moi (Luc 22, 19c)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean :

Or, les grands prêtres et tout le Sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mourir et ils n'en trouvaient pas. Car plusieurs déposaient faussement contre lui et leurs témoignages ne concordaient pas. Quelques-uns se levèrent pour porter contre lui ce faux témoignage : "Nous l'avons entendu qui disait : Je détruirai ce Sanctuaire fait de main d'homme et en trois jours j'en rebâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme." (Marc 14, 55-58)

Puis les soldats crucifient Jésus et se partagent ses vêtements en tirant au sort ce qui reviendrait à chacun. Les passants l'injuriaient en hochant la tête et disant : "Hé ! toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve_toi toi-même en descendant de la croix !" Et à la neuvième heure Jésus clama en un grand cri : "Elôï, Elôï, lema sabachthani", ce qui se traduit : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Or Jésus, jetant un grand cri, expira. Et le voile du Sanctuaire se déchira en deux, du haut en bas. Voyant qu'il avait ainsi expiré, le centurion, qui se tenait en face de lui, s'écria : "Vraiment cet homme était le fils de Dieu !" (Marc 15, 24, 29-30, 34, 37-39)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean :

Soyez soumis les uns aux autres dans la crainte du Christ. Que les femmes le soient à leurs maris comme au Seigneur : en effet, le mari est chef de sa femme, comme le Christ est chef de l'Eglise, lui le sauveur du Corps; or l'Eglise se soumet au Christ ; les femmes doivent donc, et de la même manière, se soumettre en tout à leurs maris. Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l'Eglise : il s'est livré pour elle, afin de la sanctifier en la purifiant par le bain d'eau qu'une parole accompagne ; car il voulait se la présenter à lui-même toute resplendissante, sans tache ni ride ni rien de tel, mais sainte et immaculée. De la même façon les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Aimer sa femme, c'est s'aimer soi-même. Car nul n'a jamais haï sa propre chair ; on la nourrit au contraire et on en prend soin. C'est justement ce que le Christ fait pour l'Eglise : ne sommes-nous pas les membres de son Corps ? Voici donc que l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux ne feront qu'une seule chair : ce mystère est de grande portée ; je veux dire qu'il s'applique au Christ et à l'Eglise. (Lettre de Saint Paul Apôtre aux Ephésiens 5, 21-32)

Ludovic a dit…

Pour répondre à Jean

Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle - car le premier ciel et la première terre ont disparu, et de mer, il n'y en a plus. Et je vis la Cité sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu ; elle s'est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux. J'entendis alors une voix clamer, du trône : "Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple, et lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n'y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n'y en aura plus, car l'ancien monde s'en est allé."

Ludovic a dit…

Pour Jean :

Alors, Celui qui siège sur le trône déclara : "Voici, je fais l'univers nouveau." Puis il ajouta : "Écris : Ces paroles sont certaines et vraies." "C'en est fait, me dit-il encore, je suis l'Alpha et l'Oméga, le Principe et la Fin ; celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. Telle sera la part du vainqueur ; et je serai son Dieu, et lui sera mon fils. Mais les lâches, les renégats, les dépravés, las assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l'étang brûlant de feu et de soufre : c'est la seconde mort."

Ludovic a dit…

Pour Jean :

Alors, l'un des sept Anges aux sept coupes remplies des sept
derniers fléaux s'en vint me dire : " Viens, que je te montre la Fiancée, l'Épouse de l'Agneau." Il me transporta donc en esprit sur une montagne de grande hauteur, et me montra la Cité saint, Jérusalem qui descendait du ciel, de chez Dieu, avec en elle la gloire de Dieu. Elle resplendit telle une pierre très précieuse, comme une pierre de jaspe cristallin. Elle est munie d'un rempart de grande hauteur pourvu de douze portes près desquelles il y a douze Anges et des noms inscrits, ceux des douze tribus des fils d'Israël ; à l'orient, trois portes ; au nord, trois portes ; au midi, trois portes ; à l'accident, trois portes. Le rempart de la ville repose sur douze assises portant chacune le nom de l'un des douze Apôtres de l'Agneau. De temple, je n'en vis point en elle ; c'est que le Seigneur, le Dieu Maître-de-tout, est son temple, ainsi que l'Agneau. La ville peut se passer de l'éclat du soleil et de celui de la lune, car la gloire de Dieu l'a illuminée, et l'Agneau lui tient lieu de flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre viendront lui porter leurs trésors. Ses portes resteront ouvertes le jour - car il n'y aura pas de nuit - et l'on viendra lui porter les trésors et le faste des nations. Rien de souillé n'y pourra pénétrer, ni ceux qui commettent l'abomination et le mal, mais seulement ceux qui sont inscrits dans le livre de vie de l'Agneau.

Ludovic a dit…

Pour Jean :

Puis l'Ange me montra le fleuve de
Vie, limpide comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l'Agneau. Au milieu de la place, de part et d'autre du fleuve, il y a des arbres de Vie qui fructifient douze fois, une fois chaque mois ; et leurs feuilles peuvent guérir les païens. De malédiction, il n'y en aura plus
; le trône de Dieu et de l'Agneau sera dressé dans la ville, et les serviteurs de Dieu l'adoreront ; ils verront sa face, et son nom sera sur leurs front. De nuit, il n'y en aura plus ; ils se passeront de lampe ou de soleil pour s'éclairer, car le Seigneur Dieu répandra sur eux sa lumière, et ils régneront pour les siècles des siècles. Il me dit encore : "Ne tiens pas secrètes les paroles prophétiques de ce livre, car le
Temps est proche. Que le pécheur pèche encore, et que l'homme souillé se souille encore ; que l'homme de bien vive encore dans le bien, et que le saint se sanctifie encore. Voici que mon retour est proche, et j'apporte avec moi le salaire que je vais payer à chacun, en proportion de son travail. Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes ; ils pourront disposer de l'arbre de Vie, et pénétrer dans la Cité, par les portes. Dehors les chiens, les sorciers, les impurs, les assassins, les idolâtres et tous
ceux qui se plaisent à faire le mal !" Moi, Jésus, j'ai envoyé mon Ange publier chez vous ces révélations concernant les Églises. Je suis le rejeton de la race de David, l'Étoile radieuse du matin. L'Esprit et l'Épouse disent : "Viens !" Que celui qui entend dise : "Viens !" Et que
l'homme assoiffé s'approche, que l'homme de désir reçoive l'eau de la vie, gratuitement. Je déclare, moi, à quiconque écoute les paroles prophétiques de ce livre : "Qui oserait y faire des surcharges, Dieu le chargera de tous les fléaux décrits dans ce livre ! Et qui oserait retrancher aux paroles de ce livre prophétique, Dieu retranchera son lot de l'arbre de Vie et de la Cité Sainte, décrits dans ce livre !" Le garant de ces révélations l'affirme : "Oui, mon retour est proche !" Amen, viens, Seigneur Jésus ! Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! Amen.
(Apocalypse de Saint Jean 21, 1-14, 22-27 ; 23, 1-5, 10-21)